Écoutez sans attendre notre nouvel épisode hors-série spécial été !
Pour ce 2ème hors-série spécial été, nous vous proposons 2 formats courts. Écoutons Fabrice, président de la CUMA de Montmedy Nord puis Vincent et Nicolas, président et responsable matériel de la CUMA de Belloy-sur-Somme. Tous 3 ont le même usage de Karnott et en ressortent les mêmes bénéfices. Karnott leur fait gagner du temps sur les relevés, calcule et réparti entre les adhérents des surfaces précises pour plus d'équité.
Commençons notre écoute avec Fabrice dans la Meuse.
"On est sûrs qu’il n’y a pas d’erreurs.
On ne peut pas être plus précis je pense. "
Est-ce qu’on peut commencer par une petite présentation de vous et de la CUMA ?
Fabrice Thiercy, c’est moi qui gère les Karnott au niveau de la CUMA. On est 70 adhérents. À peu près 30 adhérents sont vraiment actifs au niveau de la CUMA. On a un gros parc matériel déchaumage… Tout de toute façon ; presse, ensileuse, moiss bat’... Tout, la chaîne complète.
On a 8 boîtiers Karnott si je ne me trompe pas. On en a plus que 7 parce qu’il y en a un qui a été cassé. (rires)
Quels travaux est-ce que vous suivez en particulier ?
Matériels de déchaumage parce que c’est là que ça regroupe le plus d’adhérents possible et c’est là que c’est le plus compliqué à gérer. Jusqu’à maintenant on mettait des carnets dans les matériels et les gens notaient leurs surfaces. On a eu des doutes sur certains adhérents donc c’est pour ça qu’on a fait le choix de mettre des Karnott.
Pourquoi est-ce que vous avez pris la solution Karnott ?
Pour que ce soit juste pour tout le monde. On gagne du temps au niveau relevés de surfaces en fin d’année et puis c’est équitable pour tout le monde, on est sûrs qu’il n’y a pas d’erreurs quoi. On ne peut pas être plus précis je pense moi.
"Moi je referai plus machine arrière, oh non.
Je sais moi que si ça bouge pas, dans un an, je pense que je vais pousser un peu pour qu’on en rachète une paire quoi. "
Quels sont les bénéfices apportés par la solution ?
Bénéfices apportés ? On se rend compte que certains adhérents font plus de surface qu’avant. Pourquoi ? (rires) Bonne question. Des gens qui ne marquaient pas leur surface réelle en fait.
Y’a ça, y’a le gain de temps niveau relevé des surfaces en fin d’année.
Suivi du matériel : moi ça m'arrive de regarder quand je sais qu’il y a un adhérent qui a un matériel, que je sais qu’il y en a d’autres qui attendent derrière, je regarde s’il tourne réellement avec ou si le machin est posé au coin du champs. Ça c’est vachement bien aussi. C’est plus facile pour gérer après les autres adhérents qui attendent le matériel.
Puis je pense que c’est à peu près tout. T’as le carnet sur un matériel, le carnet peut prendre la flotte. Ça se perd, y’a pas de crayon… Non mais c’est quand même plus simple quoi franchement !
Le gars qui oublie de noter, ça arrive aussi ça. Le matériel qui repasse d’un gars à l’autre, moi si je suis pas là quand il ramasse le matériel et ben j’ai pas regardé s’il a noté et puis après ça passe, ça passe et t’as zappé.
Indirectement pour l’adhérent qui joue le jeu depuis le départ, lui ça lui coûte moins cher. Ça lui coûte moins cher parce que c’est mieux réparti. Et puis le gars qui recroise beaucoup, qui recroise fort les tournières et toutes ces choses-là et ben indirectement avant il ne payait pas s’il donnait la surface de sa parcelle réelle et aujourd’hui, il paye quoi. La charge du matériel, surtout sur les outils de déchaumage, c’est les pièces d’usure donc c’est quand même logique que ce soit facturé à la surface réelle travaillée.
"Ça se manipule bien [...] n'importe qui peut utiliser le logiciel."
Combien de temps est-ce que vous avez mis à prendre en main l'outil, est-ce que c’était simple ?
Moi je suis pas un fana d’informatique mais non non ça se manipule bien. Après il y a des petites évolutions comme on a vu là et ça permet de faciliter un peu la vie. Je pense que n’importe qui peut utiliser le logiciel.
Quelle est votre routine ? Tous les combien vous connectez-vous ?
Bah moi je l’ai sur le téléphone donc, j’y vais assez régulièrement. Comme je dis, j’ai le GPS dans le tracteur, donc quand je suis aux champs dans les grandes lignes droites, que je ne sais pas quoi faire, je regarde un peu ce qu’il se passe. Et puis, je remets à jour justement dans ces périodes-là, les parcelles qui sont encore pas enregistrées. Et c’est là-dessus je pense qu’il faut appuyer au départ, il faut que les gens enregistrent leurs parcelles, c’est bien plus simple après pour le responsable.
Vous facturez une fois dans l’année à la fin de l’année ?
Tout ce qui est travaux de sol sur lesquels Karnott est mis, oui, c’est une fois par an.
Et donc là, vous êtes plusieurs sur Karnott en même temps à regarder ce que ça donne ? Tout le bureau ?
Non non il n'y a que moi. C’est moi qui fait le récapitulatif de tout et qui redonne ça au président pour faire la facturation.
Moi je referai plus machine arrière, oh non. Ah bah je sais moi que si ça bouge pas, dans un an, je pense que je vais pousser un peu pour qu’on en rachète une paire quoi.
Parfait, quelque chose à rajouter ?
Non. (rires)
Nickel, merci beaucoup !
Merci à Fabrice pour son témoignage. En route pour la Somme maintenant, pour écouter Vincent et Nicolas ! C’est parti !
Alors qui êtes-vous et quel est votre rôle dans la CUMA ?
Vincent : Lepers Vincent, président de la CUMA de Belloy.
Nicolas : Nicolas Beugnet, responsable matériel et membre du bureau.
"Là, au moins, c'est précis."
Depuis combien de temps êtes-vous clients Karnott et combien avez-vous d’équipements ?
Clients depuis quelques années et on vient de passer à 13 équipements.
Qu'est-ce qui a déclenché l'achat de notre solution ?
Vincent : Très long à relever les compteurs.
Nicolas : Les compteurs, c'est toujours long à relever et on a toujours des petits problèmes sur les gens qui ne trouvent pas pareil que les compteurs. Là, au moins, c'est net, c'est précis.
"Des surfaces exactes non discutables"
À quels besoins répond Karnott ?
Vincent : Théoriquement, passer moins de temps. On passe un peu moins de temps mais il y a encore des progrès à faire.
Nicolas : Des surfaces exactes non discutables.
Chez Karnott, on communique de plein de façons différentes. Quelles sont les communications qui vous marquent le plus ?
Vincent : Les tutoriels.
Nicolas : J'avoue que les mails je les lie pas, les SMS pas forcément non plus, je dirais que je ne suis pas concerné.
On anime régulièrement des conférences en ligne, qu'est-ce qui fait que vous vous y inscrivez ou pas ?
Vincent : Je m'inscris pour voir l'évolution chaque année.
Nicolas : Je ne m'inscris pas par manque de temps.
"On se rend compte qu'on passe beaucoup de temps sur la route. On ne se rendait pas compte en relevant les compteurs manuellement."
Vous avez déjà été amenés à faire plusieurs fois des bilans. Quel résultat, quel constat vous a le plus étonné / marqué ?
Vincent : La différence entre les surfaces, le temps passé à la parcelle et le temps passé sur la route. Et on se rend compte qu'on passe beaucoup de temps sur la route. On ne se rendait pas compte en relevant les compteurs manuellement.
Nicolas : Les grosses différences de moyennes de surfaces travaillées à l'heure. Un client qui fait 40 hectares en 20 heures et l'autre 40 hectares en 5 heures sur le même matériel.
Quel coût Karnott représente par hectare ?
Vincent : Honnêtement, pas d'idée. Mais à l'hectare, ça doit être très faible.
Nicolas : On va passer à 3500 euros, si on est à 5000 hectares, ouais je pense qu'on est entre 50 et 80 centimes de l'hectare soit 70 euros par adhérent sur notre CUMA.
Pour que ce soit parfait, qu'est-ce qui vous manquerait dans la solution Karnott ?
Vincent : Qu'ils embauchent du vrai personnel ! Non je déconne ! (rires) Que la découpe des parcelles soit améliorée, ça nous prend du temps.
Nicolas : C'est vrai que redessiner les parcelles, on le fait souvent du téléphone car c'est ce qu'on a comme outil sur le chantier. On va dire que les paysans ils ont des gros doigts c'est pas super simple. Ça se fait mais c'est pas super simple et un relevé instantané mais on devrait l'avoir très bientôt.*
Dernière question : sur une échelle de 0 à 10, à combien recommanderiez-vous Karnott ?
Vincent : 7 moi.
Bah Mr Lepers ! (rires)
Nicolas : Je dirais entre 8 et 9 parce qu'il faut jamais mettre 10.
Super merci, top !
* En effet, depuis cet enregistrement, la fonctionnalité "Suivi et calcul des travaux en temps réel" est sortie !
Un grand merci à Fabrice, Vincent et Nicolas de nous avoir acceuillies et d'avoir répondu à nos questions.
À propos du podcast #CulturesKarnott : Les coachs client Karnott présentent le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectée. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.
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