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Podcast #CulturesKarnott n°11 : Quand l'outil dépasse toutes les attentes !

Philippine Pluto et Marc Dufouleur, nous expliquent leur étonnement en découvrant Karnott et tout ce qui se cache derrière ces équipements !

Écoutez sans attendre notre onzième épisode !

 

Dans ce 11ème épisode de CulturesKarnott, nous discutons avec Philippine Plotu et Marc Dufouleur, respectivement oenologue et directeur technique au sein de la maison DUFOULEUR FRÈRES.

A une époque où tout doit être suivi, mesuré, évalué et optimisé, Karnott est arrivé dans ce domaine telle une poupée russe. D'abord outil traceur pour le tracteur, Philippine et Marc ont découvert derrière ce boitier une équipe prête à les épauler tout au long de leur aventure mais aussi une plateforme de suivi devenue véritable alliée dans leur prise de décisions. 

" Karnott est arrivé chez nous sans qu'on ne sache rien de la solution. [...] On a découvert Karnott au fur et à mesure, on a été de bonnes surprises en bonnes surprises si on peut dire. "

Bonjour à vous deux, je vais vous demander de vous présenter, de me donner votre rôle et quelle activité vous avez.

Je suis Philippine Plotu et dans la maison je suis œnologue à temps plein et je gère les vignes, mais de loin, de très loin.

Moi je suis Marc Dufouleur, je suis directeur technique de la maison et on fait partie d'un groupe familial qui a plusieurs activités dont une activité viticole sur principalement la Côte de Nuit en Côte d'Or.

Alors on va entrer tout de suite dans le vif du sujet. La prochaine question, est de savoir comment les travaux mécanisés étaient suivis chez vous avant et est-ce que vous aviez déjà un logiciel qui vous permettait de tracer l'activité du matériel ?

Alors non, au départ quand je suis rentré dans la maison, les travaux mécanisés étaient faits par des prestataires extérieurs. Après ça quand on a commencé à s'en occuper par nous-mêmes, ça a été suivi sur papier de manière assez traditionnelle puis assez rapidement sous Excel. Et il y a 2 ans et demi, 3 ans peut-être presque maintenant, on a franchi le pas d'avoir un logiciel métier de traçabilité et la solution Karnott est arrivée chez nous.

D'accord, donc vous avez dans un premier temps internalisé tous les travaux mécanisés, puis vous avez utilisé un logiciel spécial.

Qu'est-ce qui a déclenché l'achat de Karnott ? Finalement, combien d'équipements vous avez pris au départ ?

Alors ce qui a déclenché l'achat de Karnott, en fait ça a été l'achat de la solution logiciel métier traçabilité : Lavilog. Le risque avec les logiciels métiers c'est que c'est excellent en termes de traçabilité, en termes de sécurisation des données. Par contre il faut pas que ça devienne un métier, c'est ce que je ne voulais absolument pas. C'est que finalement on se retrouve avec quelqu'un qui rentre de la donnée en permanence et on savait qu'il existait des solutions type Karnott sans être vraiment rentré dans le détail. Et c'est Lavilog qui nous a indiqué qu'il y avait un partenariat privilégié avec Karnott, qu'on connaissait pas comme on ne connaissait pas d'ailleurs d'autres solutions type Karnott et qui nous a orienté vers vous. C'est comme ça qu'on est arrivé chez Karnott.

On a commencé si je ne dis pas de bêtises avec 2 Karnott tracteur et 4 ou 5 Karnott Outil. Aujourd'hui ça a évolué, on a 4 Karnott tracteur et 13 Karnott Outil.

Alors est-ce qu'au début vous aviez fait le choix de suivre des chantiers en particulier ?

Non, c'est à peu près l'ensemble des chantiers sauf des chantiers très ponctuels comme les engrais qui se reproduisent que 2 fois par an, qui d'ailleurs aujourd'hui sont suivis. On a voulu essayer dans un premier temps pour voir comment ça fonctionnait. On a découvert petit à petit. En fait, la particularité pour nous comme client Karnott c'est qu'on n'a pas été en lien direct avec Karnott au départ, c'est passé par Lavilog et Karnott est arrivé chez nous sans qu'on ne sache rien de la solution.

Au début on avait compris qu'on allait recevoir que des capteurs et qu'on n'aurait même pas d'interlocuteur chez Karnott et on ne savait même pas qu'il y avait un logiciel qui existait derrière. C'était un peu comme ouvrir un MacBook Pro. Quand on reçoit quelque chose de chez Karnott, il y a un emballage qui est hyper bien fait, avec une petite brochure qui explique tout. On découvre qu'on va avoir accès à un logiciel, on a un numéro de téléphone et alors là, on est pris en charge comme dans un 5 étoiles puisque on est appelé quasiment toutes les semaines par différentes personnes pour suivre les étapes d'installation, pour s'assurer que tout se met bien en route progressivement. On a découvert Karnott au fur et à mesure, on a été de bonnes surprises en bonnes surprise si on peut dire. Parce qu'au départ pour nous, on achetait 3 boîtiers et on les mettait en tracteur. Et il n'y avait même pas de réalité d'équipes derrière Karnott. C'était juste un outil qui fonctionnait avec Lavilog, mais on n'avait pas du tout conscience de ce qu'il y avait derrière. 

D'accord, donc c'était un peu à l'aveugle finalement au départ en fait.

On achetait vraiment la traçabilité qui allait remonter dans Lavilog pour ne pas perdre de temps en saisie et que les informations remontent automatiquement sans qu'il y ait un opérateur qui soit contraint tous les jours de saisir ce qui avait été fait dans les vignes au fur et à mesure et que les informations s'incrémentent automatiquement en temps réel avec les bonnes durées. On n'imaginait pas une seconde que Karnott avait développé son propre logiciel, qu'il y avait une équipe pareille derrière. À l'origine, on achetait un matériel comme on aurait acheté une boucheuse à liège.

" On découvre qu'on va avoir accès à un logiciel, on a un numéro de téléphone et alors là, on est pris en charge comme dans un 5 étoiles puisque on est appelé quasiment toutes les semaines par différentes personnes pour suivre les étapes d'installation, pour s'assurer que tout se met bien en route progressivement. "

Vous avez découvert qu'en fait, derrière tout ça, c'était un peu plus complexe. Donc vous disiez que donc vous avez été formé vous-même et après est-ce que vous avez pu expliquer la solution à tous vos collaborateurs ? Comment vous êtes-vous organisés ?

Alors ça on l'a expliquée en amont pour le coup, parce qu'il y a le risque que ce soit mal interprété. Alors on a la chance d'être une petite structure donc c'est plus facile. La communication est peut-être plus aisée et on a plus de proximité, on déjeune ensemble tous les jours, on se connaît bien, mais je voulais pas que ça soit vécu comme du "flicage" ou une idée de suivre à la trace l'un ou l'autre au quotidien. Donc je voulais lever cette ambiguïté-là et expliquer. Nous, on l'a expliquée par 2 choses, un le temps gagné : en termes de saisie, et ça, c'est quelque chose qui a été bien reçu et compris par les opérateurs vignes qui ont vu l'intérêt pour eux de ne pas avoir à faire de la re-saisie de leurs travaux en fin de journée. La 2ème pour nous c'est une question de sécurité. C'est la possibilité quand un tractoriste est sur un tracteur de suivre son parcours à distance et s'assurer, notamment dans les vignes les plus compliquées, qu'il y est entré et ressorti dans des délais normaux sans avoir besoin d'interrompre son travail et de le déranger alors qu'il est au volant de son enjambeur.

Donc il y avait une question d'organisation, une question de sécurité.

Il y avait une question qui m'intéressait, cela concerne la particularité que vous avez, qui est d'avoir des parcelles assez éloignées les unes des autres. Aujourd'hui, en quoi Karnott vous est utile et est-ce que ça vous aide ?

Alors oui, ça nous aide à 2 titres. La première chose, c'est la question de la sécurité qui pour nous est primordiale. On est dans une région viticole où on a des parcelles en quasi plaine, où il n'y a pas de risque particulier. Mais on a aussi des parcelles en fort coteau avec du dévers qui présentent des risques importants et particulièrement quand la météo n'est pas favorable. C'est un moyen sûr pour nous de nous assurer de l'avancée normale des travaux et ne pas laisser quelqu'un en difficulté qui ne serait pas en capacité d'appeler les secours. Donc on est extrêmement vigilant là-dessus. Il y a eu une amélioration importante, c'est que maintenant les données reviennent encore plus rapidement. La 2ème chose, c'est qu'on a un petit domaine qui est sur 25 km de long, sur 21 parcelles et on rend des comptes à un conseil d'administration et c'est difficile de faire comprendre que la surface réellement travaillée et sans rapport avec le temps qu'on y consacre. Avec les stats qu'on arrive à sortir dans les rapports Karnott, on s'en est rendu compte assez rapidement et c'est ce qui a permis d'aussi de "vendre" au Conseil d'administration ou de faire accepter des investissements supplémentaires. En réalité si on ramenait ça en temps de travail effectif, c'est à dire si on comprend les temps de route, on fait plutôt 12 hectares que 4. Donc c'est un rapport d'1 à 3 qui est extrêmement important. Karnott ça a été une aide extrêmement importante et ça l'est aujourd'hui encore parce qu'on calcule nos coûts comme toutes les entreprises et ça nous permet d'affiner au plus près le temps réellement passé. C'est facile de donner un temps donné à la parcelle. Alors dans le Bordelais où j'ai travaillé pendant quelques années, quand vous avez 15 hectares autour d'une maison d'habitation, cette problématique ne se pose pas. En Côte d'Or quand pour arriver à la première parcelle vous avez déjà 45 minutes de temps de route où il se passe rien si ce n'est conduire sur la route départementale, ça a un temps qui doit être pris en considération, c'est du temps homme. Ça permet de discuter une embauche, ça a été le cas, on a embauché un tractoriste cette année et tout ça on arrive à le déterminer grâce au stats que remonte le Karnott et aux rapports. Cela permet de dire : voilà le temps effectif que chacun consacre à cette activité, c'est celui-là réellement et de remettre un petit peu l'Église au centre du village. Parce que si on ne raisonne qu'à la parcelle en disant pour labourer 1/2 hectare il faut tant de temps, ça fonctionne pas.

" On a un petit domaine qui est sur 25 km de long, sur 21 parcelles et on rend des comptes à un conseil d'administration et c'est difficile de faire comprendre que la surface réellement travaillée et sans rapport avec le temps qu'on y consacre. Avec les stats qu'on arrive à sortir dans les rapports Karnott, on s'est rendu compte assez rapidement et c'est ce qui a permis d'aussi de "vendre" au Conseil d'administration ou de faire accepter des investissements supplémentaires. "

Vous regardez l'activité, vous regardez les temps de route, les kilomètres parcourus et ça vous permet aussi après de faire votre somme de temps passé.

Exactement et présenter les tableaux détaillés qui sont incontestables. Voilà moi je retravaille un tout petit peu les extractions Excel que je fais à partir de Karnott, mais ça permet de donner de l'information avec de la conclusion. L'information elle est accessible à tous et aux décideurs de l'entreprise. Il n'y a plus de sujet, il n'y a plus à discuter. Avant on estimait un temps, on demandait de faire du déclaratif au personnel et en fait ils avaient tendance souvent à sous-estimer le temps réellement passé. Je pense par crainte qu'on leur dise peut-être "tu as passé trop de temps, ça va être le temps qu'il faut", ou de se dire maintenant c'est pas possible que j'ai passé autant de temps. Là au moins il n'y a pas de discussion sur le sujet. On est aussi sur de la vigne étroite et ça ne se gère pas comme dans la vigne large, comme dans la grande culture. On a un temps de réglage des outils qui est extrêmement important parfois vous remontez un outil d'une parcelle à l'autre et bien il faut reprendre une heure pour faire du réglage. Karnott nous permet aussi de le déterminer et de savoir que c'est du temps en parcelles qui n'est pas actif mais on sait bien que la personne est en train de régler précisément ses outils. C'est du temps qui doit être valorisé et qu'on doit prendre en compte pour une meilleure organisation de la vie de l'entreprise et notamment des travaux viticoles.

" Le Karnott reste sur le tracteur en permanence, il n'y a pas de discussion non plus sur le sujet, c'est la réalité qui remonte et ça permet de traiter les données beaucoup plus finement. "

Parce qu'effectivement, sur Karnott, on enregistre différentes notions de temps. Ces notions s'affinent un petit peu plus à chaque fois, les temps prennent toujours en compte les temps de vibration du tracteur, mais on peut regarder aussi si le tracteur était en mouvement dans la parcelle, et donc Karnott permet de différencier un état statique d'un état en  mouvement.

Exactement, ça permet aussi, et ça peut paraître stupide, mais comme vous nous avez fait dessiner nos corps de ferme, de mesurer le temps où nos tracteurs sont immobilisés. Ça peut présider à l'achat d'un nouveau matériel. On peut se dire sur la dernière campagne, un tracteur stratégique pour l'activité sur les 3 mois de forte tension a été immobilisé 60 % du temps, ce qui explique que ce soit compliqué. Est-ce que c'est acceptable ou est-ce qu'on ne réinvestit pas plutôt dans un matériel neuf ? Parce qu'on ne peut pas accepter 60 % de temps d'immobilisation. Le Karnott reste sur le tracteur en permanence, il n'y a pas de discussion non plus sur le sujet, c'est la réalité qui remonte et ça permet de traiter les données beaucoup plus finement. 

Si je fais le bilan un peu de ce que vous me dites finalement Karnott est vraiment un outil d'aide à certaines décisions au sein de votre maison ?

Alors c'est un outil d'aide à la décision, c'est un outil qui fait gagner un temps énorme parce que ça remonte dans notre logiciel métier de traçabilité, l'ensemble des données. Donc on en est très content, c'est autant de temps de saisie opérateur qu'on n'a pas à faire. Pour le faire pour la partie cuverie au quotidien, c'est extrêmement long de rentrer de la donnée brute dans un logiciel métier. C'est vrai que sur la vigne, si je compare la vigne par rapport à la cuverie, ça a un rapport de peut-être d'1 à 10 ou d'1 à 20 en termes de temps passé. Parce qu'en cuverie malheureusement on n' pas encore Karnott cuverie et je ne pense pas que ça arrivera.

Je pense pas que ce soit pour demain 😄 !

C'est énormément de temps, dans une semaine on y consacre plus d'une dizaine d'heures chacun chaque semaine, alors que sur la vigne si on passe une demi-heure sur la partie viticole, c'est le c'est le bout du monde grâce à Karnott.

Et avant Karnott, ça vous prenait combien de temps de reporter ça  justement ?

En saison on avait bien 1 heure tous les soirs de travail pour être sûr. On est soumis à une obligation de valorisation de nos stocks, ce qu'on appelle nous PMPA, ce sont les prix moyens pondérés annuels. Donc on doit valoriser nos stocks au plus juste pour l'administration fiscale. Il faut essayer de tenir compte de tous les coûts qui sont accumulés pendant l'année. Alors quand c'est de la facture de matériels, ce n'est pas très compliqué on additionne des factures. Quand c'est du temps humain pour l'estimer au plus juste et au plus près surtout quand ce sont des personnes qui ne sont pas à 100 % dédiées à ça, qui ont une utilité  très transversale, qui peut être en cuverie comme en vignes suivant les périodes. Il faut qu'on arrive à avoir un suivi le plus le plus fin possible.

Finalement, quel ce serait votre bilan de Karnott en quelques mots ? Qu'est ce que ça vous a apporté, ou si on devait retenir une ou 2 choses ?

Le bilan de Karnott, c'est qu'aujourd'hui c'est un vrai outil dans l'entreprise et c'est vraiment ce qui nous permet de prendre des décisions et c'est aussi ce qui nous permet d'ajuster nos temps et d'ajuster aussi par moment les emplois du temps de chacun. Parce qu'avec les retours sur expérience, on sait à peu près ce qu'on a comme temps à passer sur les interventions. Donc on arrive à mieux anticiper les travaux et que ce soit à la vigne ou que ce soit ici, on arrive à mieux les anticiper. Ça permet d'avoir une meilleure fluidité dans l'organisation au quotidien. Ça permet de justifier aussi certaines choses auprès du conseil d'administration qu'on n'arrivait pas à justifier avant. Les chiffres parlent d'eux-mêmes donc ça c'est on peut pas les contredire une fois qu'ils sont là.

Philippine a dit quelque chose de très juste c'est qu'on est, comme beaucoup d'entreprises, passé aux 35 heures il y a de nombreuses années déjà, donc on a une programmation indicative d'annualisation du temps de travail. Très clairement là je suis en train de faire des plannings de l'année prochaine puisqu'on est sur une saisonnalité 1er avril au 31 mars. Je regarde très clairement pour faire le planning des tractoristes les temps de travaux journaliers et les périodes où ça a plus travaillé pour adapter au mieux leur temps de travail à ce qui a été fait l'année précédente. Et faire un planning qui soit le plus juste possible et qu'on ait le moins besoin de le changer. Ça nous fait gagner du temps. Ça a été un peu la super surprise Karnott parce qu'il y a eu une équipe ultra sympathique, il y a toujours quelqu'un au bout du fil pour vous trouver une solution. On est réellement tenus par la main mais dans le bon sens du terme. C'est à dire que quelle que soit la demande, on a une réponse, on a une évolution. On dit bah voilà, il nous manquerait ça, souvent la solution existe sans qu'on le sache nécessairement où vous nous proposez de faire une petite adaptation. Donc ça c'est hyper pratique.

" Le bilan de Karnott, c'est qu'aujourd'hui c'est un vrai outil dans l'entreprise et c'est vraiment ce qui nous permet de prendre des décisions et c'est aussi ce qui nous permet d'ajuster nos temps et d'ajuster aussi par moment les emplois du temps de chacun. "

Ce que j'attends avec impatience, pour parler d'une de mes attentes, c'est une plus grande précision du GPS. On est en conversion bio donc les auditeurs sont hyper fans, ça les sécurise énormément la solution Karnott. Quand ils découvrent ça, ils ont un sourire jusqu'en haut des oreilles. Ils peuvent voir à quelle heure on est passé dans telle parcelle, donc ça leur permet de contrôler la véracité de nos dires. Ce qui me manque aujourd'hui clairement, notamment sur la partie traitements qui est stratégique pour nous, c'est réellement la finesse du trait GPS et la fréquence du point pour être sûr par exemple qu'on ait pas laissé passer une montée de traitement puis une descente de traitement sans s'en rendre compte parce qu'il y a eu un coup de téléphone à ce moment-là. C'est vraiment l'attente que j'ai pour les prochaines années en me disant voilà ça évolue constamment et dans le bon sens, ça sera un petit peu la cerise sur le gâteau quand on en sera là.

Effectivement c'est un sujet sur lequel on travaille activement parce qu'il y a un Karnott nouvelle génération qui devrait sortir d'ici peut-être la fin de l'année, sans trop s'avancer. Ce Karnott pourra peut-être, si ça fonctionne, supporter du RTK. Je vous parle au conditionnel.

On aime bien nous les évaluations chez Karnott donc finalement entre un et 10 quel est votre niveau d'adoption de la solution ?

Enfin, nous, c'est adopté !

Alors moi j'ai un 9 et demi sans aucune hésitation. Ce qui n'est pas facile à percevoir quand on achète une solution comme celle-là, elle paraît évidente. Enfin elle nous a paru évidente avec le logiciel métier, elle l'est encore plus dans le cadre d'une conversion bio. Avant qu'on soit HVE 3 ou bio ou en biodi, c'est une sécurité énorme et c'est un gain de temps énorme pendant les audits. Je vais vous prendre un exemple, le dernier audit qu'on a eu, il était prévu sur 4h30 entre Karnott et Lavilog, l'audit s'est effectué en 1h30 et l'auditrice elle est absolument ravie. Elle voit qu'il y a rien à cacher, elle peut remonter dans tous les sens par date, elle peut recroiser les données entre Lavilog et Karnott. Tout se fait en transparence parfaite après ça bien sûr il y a un contrôle documentaire sur facture à faire, mais ça donne un gage de sérieux et de sécurité énorme dans le cadre d'une conversion, d'un audit, ça c'est le premier point. Ça nous fait gagner un temps énorme en termes de saisie.

Ce qui est hyper important et je pense que ce sur quoi vous devriez plus communiquer, ou en tout cas ceux qui vous proposent devraient plus communiquer C'est expliquer à quel point il y a une équipe derrière. Et on n'est pas du tout lâché avec des boîtiers qu'on accroche bêtement à un tracteur. Mais je dirais qu'aujourd'hui, on a presque plus d'échanges réguliers oraux ou écrits avec l'équipe de chez Karnott qu'avec l'équipe du logiciel métier. L'utilisation fait naître des nouveaux besoins, ça nous permet de découvrir quasiment tous les 6 mois une nouvelle manière d'exploiter les données qui remontent de Karnott. Il y a une équipe derrière qui est hyper jeune et motivée et qui a toujours la banane si on peut dire. Voilà donc c'est hyper agréable, on a l'impression vraiment de bosser en partenariat et de progresser ensemble. Et ça c'est suffisamment rare pour être pour être clairement noté. 

Vous allez nous faire rougir ! C'est toujours très agréable de l'entendre. Et puis c'est vraiment dans l'ADN de Karnott. C'est vraiment ça qu'on a toujours voulu faire, accompagner les clients, ne pas les laisser tomber. Parce qu'on sait aussi que les nouveaux systèmes comme ceux-là doivent se démocratiser. Il y a plein de gens qui doivent apprendre à les utiliser et nous c'est ce qu'on veut faire. On veut que ça s'intègre parfaitement dans leur utilisation au quotidien et pas que ça soit un poids en plus.

Les tracteurs vont régulièrement en entretien que ce soit chez un concessionnaire ou chez un autre. En fait il y a plein de questions qui arrivent parce qu'ils voient, ils découvrent pendant l'entretien et donc ils nous posent la question en disant mais ça va être hyper compliqué, il faut être un as en informatique et quand on dit que pas du tout au contraire quelque part c'est comparer ça un peu à Mac. Les gens s'imaginent que Mac c'est pour les experts en informatique, moi je dis que c'est pour les gens qui ont juste pour envie d'utiliser leur ordinateur sans se poser de questions Mac c'est bien adapté. Voilà il y a justement pas besoin d'être un crac. Karnott c'est un peu la même chose c'est une solution facilitante qui n'est pas du tout compliquée, c'est très intuitif. Il a une application mobile qui est hyper simple à utiliser, une interface web qui marche super bien. Je sais que c'est plus facile que de faire un drive quasiment d'utiliser Karnott. Donc il n'y a absolument rien de compliqué derrière.

" Karnott c'est un peu la même chose c'est une solution facilitante qui n'est pas du tout compliquée, c'est très intuitif. Il a une application mobile qui est hyper simple à utiliser, une interface web qui marche super bien, je sais que c'est plus facile que de faire un drive quasiment, d'utiliser Karnott. "

 

Bon écoutez c'est parfait. Merci beaucoupà vous deux d'avoir répondu à nos questions.

À propos du podcast #CulturesKarnott : Servane - coach Karnott - présente le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectées. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.


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