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Podcast #CulturesKarnott n°13 : Karnott c'est merveilleux !

Louis Brunet, fondateur d'une CUMA au Canada, nous raconte comment Karnott a fait sa place dans leur quotidien depuis maintenant 5 ans.

Ecoutez sans attendre notre treizième épisode ! 

 

 

Ça n’est pas tous les jours que nous pouvons rencontrer nos utilisateurs du Canada. Alors quand Monsieur Brunet nous a dit qu’il était de passage en France, nous avons sauté sur l’occasion. Il aime voir les gens avec qui il travaille. Ça tombe bien, nous aussi. Dans ce numéro, nous avons le plaisir d’écouter Louis Brunet, fondateur de la CUMA Franco Agri, basée dans l’Ontario et qui a presque 30 ans d’existence. Ensemble, nous revenons sur l’installation de Karnott il y a maintenant 5 ans et les bénéfices que la solution a apporté, à savoir géolocalisation, précision et répartition plus juste entre les adhérents.

« Avant ça prenait du temps, tout était retardé, maintenant avec Karnott, on peut le faire au 31 décembre, à la fin de notre année fiscale, c’est merveilleux. »

Bonjour Monsieur Brunet, on est ravi de vous avoir ! Est-ce que vous pourriez vous présenter, nous dire un petit peu votre rôle et votre activité ?
Moi je suis agriculteur, membre d’une CUMA en Ontario au Canada. C’est une CUMA qui a, à peu près, 28 ou 29 ans d'existence. Je suis un des fondateurs, puis on utilise Karnott depuis 4/5 ans.

Déjà 4/5 ans, d'accord. Qu'est-ce qui avait déclenché l'achat de Karnott à l'époque ? Est-ce que vous aviez des souffrances, des difficultés, qu'est-ce qui vous a donné envie d'acheter la solution Karnott ?
C’était au niveau des superficies qu’on faisait, c’était plus difficile de prendre des données car quand on arrivait à la fin de l’année, on demandait aux adhérents de nous donner les résultats puis des fois, ça prenait 1 mois avant qu’on ait toutes les données de tout le monde.
Alors à la fin de l’année financière, ça prenait du temps, tout était retardé, maintenant avec ça, on peut la faire au 31 décembre, pour nous notre année fiscale. C’est merveilleux.

Est-ce que vous avez fait le choix de suivre des chantiers en particulier ?
C’est surtout du travail du sol qu’il y avait au début, puis des réservoirs à lisier. On a commencé parce que c’était, comme en travail de sol, des grandes superficies. Des fois les gens pas par manque, enfin pas pour être malhonnêtes, pouvaient oublier, surtout quand ils donnent les superficies quelques mois plus tard, tu te dis dans cette parcelle là tu passes une fois, deux fois, j’ai tout fait, un bout de champ, je l’ai passé 3 fois, alors là c’est plus uniforme. C'est sûr que ça fait un peu plus de superficie que juste la superficie totale de la parcelle mais par contre c’est égal pour tout le monde. C’est admettons 15% de plus pour tourner au bout, c’est égal pour tout le monde. C’est merveilleux.

Très bien, c'est très clair. Alors on va faire appel un peu à vos souvenirs. Est-ce que vous vous rappelez comment l'installation et la mise en route avaient été faites il y a 4/5 ans ? Comment vous aviez procédé ? Vous avez un nombre d'adhérents conséquent, comment vous vous étiez organisés ? Est-ce que vous aviez récupéré des parcellaires ? Ou est-ce que vous ajoutez les parcelles au fur et à mesure ? Est-ce que vous pouvez nous en parler un petit peu ?

Au tout début, c’est 4 Karnott qu’on avait mis sur les équipements, pour savoir comment ça fonctionnait, tout ça. Puis, là maintenant, de + en +, quand on achète une nouvelle machine, on le met dedans, on ne demande même pas aux adhérents, on l’installe directement dedans. On n’a plus à aller chercher les données, et maintenant on est rendu avec 28 boîtiers. Ça va super bien, la réception est encore meilleure qu’avant.

Ah oui, vous avez vu l'évolution au niveau de la technologie du boîtier en tant que tel. 
Votre service est très bon aussi, que même si on est loin de chez vous, ça va très bien.

Vous avez Bruno effectivement sur place aussi qui peut vous aider. Très bien, alors, justement quand vous aviez mis en place la solution, le bénéfice que vous attentiez, est-ce qu'il a été rapide ? Est-ce que ça répondait à votre besoin de base ? Comment vous avez perçu la chose ?
C’était quasiment instantané au niveau de la précision de chaque machinerie qui était utilisée, qui était quelques fois, il y avait des écarts assez importants, pas voulus mais c’était plus facile comme ça, plus précis.

D'accord, donc c'était tout de suite la précision. Et alors 5 ans plus tard, est-ce que c'est toujours le cas, est-ce que vous avez d'autres bénéfices ? Justement, on parlait de la facturation tout à l'heure. Comment c'est intégré dans votre quotidien ?
C’est plus facile au niveau de savoir la localisation de la machinerie, voir si ça fonctionne, on peut savoir où elles sont, on peut parfois discuter avec l’agriculteur d’à côté qu’il l’a, s’il n’en n’a pas pour tellement longtemps, on est capable d’aller la chercher plus tôt, c’est plus facile comme ça.

Et vous utilisez beaucoup l'Application Mobile. C'est ça, vous nous disiez tout à l'heure que vos collègues, les responsables de matériels, utilisent beaucoup le téléphone au quotidien. 
C’est tout au téléphone.

Oui, c'est tout au téléphone, et juste effectivement la facturation pour récupérer les données sur le PC. 
C’est tout au mobile.

Si vous deviez résumer un petit peu la solution Karnott, qu'est-ce que vous diriez ? Et à l'inverse, pour que ça soit parfait, est-ce que vous pensez qu'il y a une fonctionnalité qui manque, qu'est-ce que vous aimeriez avoir de plus ? 

Disons que nous, ça nous a apporté beaucoup, par contre ça nous prendrait un peu de formations au niveau des utilisateurs. Le système le permet, c’est juste une question de formation, que les gens puissent mettre toutes les choses comme faire l’entretien dessus telle journée, quelque chose de brisé : on prend une photo, c’est pour un meilleur suivi de nos équipements dans la CUMA.

Vous utilisez les observations, et donc c'est aussi à nous de réexpliquer à vos utilisateurs comment le faire. C'est totalement possible, c'est juste qu'il faut qu'on leur remontre comment faire, on refera un peu de pédagogie autour de ça.

 

Dernière petite question, et je crois savoir que parfois vous notez. Nous, on aime bien les évaluations chez Karnott, donc sur une échelle de 0 à 10, à combien recommanderiez-vous Karnott à vos homologues ? 

Je te dirais 9 sur 10 pour pas dire parfait. 

On a l'habitude :) 9 c'est déjà super ! Et qu'est-ce que vous diriez justement à vos homologues si vous deviez les convaincre de prendre Karnott ? 
Pour nous, comme une CUMA, c’est vraiment quelque chose d’important que vous devriez appliquer au niveau de certaines CUMA. J’ai eu des stagiaires au cours des années et je leur parle de ça depuis plusieurs années, puis il y en qui ne sont pas encore au courant (que ça existe) ou alors peut-être qu’ils le sont, en tout cas ils ne l’utilisent pas. Je pense qu’il y a un avantage de faire encore plus en France.

Ok, super. Et bien Monsieur Brunet, merci beaucoup, on était ravi encore une fois de vous accueillir chez nous en France, un grand merci !

C’était un grand plaisir, merci.

À propos du podcast #CulturesKarnott : Anne - manager Karnott - présente le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectées. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.


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