Stéphane, entrepreneur dans le Jura, revient sur la mise en place de Karnott au sein de son ETA. Aujourd'hui, la solution fait l'unanimité et est devenue son outil de facturation.
Dans cet épisode, nous rencontrons Stéphane, entrepreneur dans le Jura. Il revient sur la mise en place de Karnott au sein de son ETA. Il y est allé étape par étape, ça a pris du temps au démarrage mais une fois qu'il a eu le déclic, la solution Karnott a vite été adoptée ! Aujourd'hui, il ne pourrait plus faire sans et facture exclusivement avec les données Karnott. C'est parti !
« Il a fallu prendre en main l'outil, mais c'est venu assez facilement tout au long de l'année ! »
Stéphane, pouvez-vous vous présenter ainsi que votre activité ?
Bonjour, Stéphane, entrepreneur de travaux agricoles. J’ai plusieurs moissonneuses, je fais de l’andainage avec des automotrices et j’ai une petite ferme à façon. Je suis parti avec Karnott pour récupérer les surfaces ou heures de travail, pour la facturation. Et j’ai Karnott depuis 1 an et demi déjà ! J'ai commencé avec trois Karnott. Quand je les ai mis en fonctionnement sur le matériel, j'ai eu un peu de mal à m’en occuper. Et c'est l'hiver dernier où j'ai vraiment voulu m'en servir à 100 %. Désormais, j'en ai racheté pour équiper toutes mes machines. Il a fallu prendre en main l'outil, mais c'est venu assez facilement tou au long de l'année.
« On avait les surfaces sur les compteurs des machines mais ce n’est pas précis du tout. Je récupérais les surfaces PAC, les chauffeurs récupéraient des surfaces qu'on leur disait au bout du champ. Enfin ce n’était pas très clair ! J’avais souvent des erreurs de surface, donc il fallait refaire des factures ou que je cours après les surfaces travaillées. »
C’est simple, les chauffeurs notaient tout sur un carnet. On avait les surfaces sur les compteurs des machines mais ce n’est pas précis du tout. Je récupérais les surfaces PAC, ils récupéraient des surfaces qu'on leur disait au bout du champ. Enfin ce n’était pas très clair ! J’avais souvent des erreurs de surface, donc il fallait refaire des factures ou que je cours après les surfaces travaillées.
Il y avait déjà un petit moment que je réfléchissais à trouver une solution pour ne plus courir et ne plus perdre de temps à récupérer des surfaces ou des heures de travail. C'est comme ça que je suis venu prendre des renseignements sur Karnott, j'ai essayé et ça m’a convenu. Je suis parti avec Karnott.
Comment s'est faite la prise en main des outils et est-ce que vous avez été accompagné ? Et si oui, comment ?
Alors la prise en main, c'est simple mais une fois qu’on a compris. En fait, je peux dire que c'est simple aujourd'hui parce que je sais l'utiliser. Au début, ça a été un peu compliqué. Mais j’ai été très bien accompagné, on peut toujours joindre quelqu'un quand on en a besoin.
Et au bout de combien de temps vous êtes vous senti à l'aise sur l'usage des applications web et mobile Karnott ?
A partir du moment où je l'ai vraiment utilisé et que le matériel tournait dans les champs. Parce qu’en plein hiver, c'est un peu plus compliqué, c'est la période creuse c'est pas là qu'on peut vraiment s'en servir quotidiennement. En revanche, une fois que j'ai été vraiment dedans, ça m'a pris environ 3 mois pour que je puisse maîtriser vraiment l'application. 3 mois pendant lesquels j'avais quand même des questions.
Au bout de 3 mois, j'ai su l'utiliser sur le smartphone, après c'est vrai qu'il a fallu mettre au point la facturation. Parce que moi, je vais assez loin avec le Karnott, je fais ma facturation sur Excel avec les données qu'on peut récupérer de Karnott. Après, j'ai fait une automatisation des données pour les mettre sur la facture, donc ça a pris pas mal de temps pour mettre tout ça au point. Et là encore une fois, j'ai bien été accompagné. On a passé beaucoup de temps au téléphone, enfin c'était nécessaire pour mettre tout ça en place.
« C'est le top le transfert des données par Excel ! Après on les traite comme on veut. Nous on a choisi cette solution là, on s'est adapté à Karnott pour fabriquer notre outil de facturation. »
Et maintenant tout roule ?
Oui oui, maintenant ça va très bien. Après, il y a des petites modifications mais c'est plus sur Excel. Mais c'est le top le transfert des données par Excel ! Après on les traite comme on veut. Nous on a choisi cette solution là, on s'est adapté à Karnott pour fabriquer notre notre outil de facturation.
Alors, je suis seul à gérer Karnott. Mon père me donne un coup de main pour tout ce qui concerne la facturation. C’est lui justement qui s'occupe de cette partie transfert des données sur Excel et puis facturation. Parce que je ne peux pas être partout. Les chauffeurs ont accès à tout. Il faut qu'ils puissent rentrer les parcelles et qu’ils puissent changer l'outil sur l'application. Voilà mais autrement je suis seul à gérer, je leur ai juste expliqué comment se servir de l'application.
« Les chauffeurs préfèrent Karnott à noter sur le carnet. C'est quand même plus plus facile avec le smartphone. C'est vrai qu’on l'a toujours sur soi ! Il n’y a pas de stylos perdus, de carnets égarés… »
Oui très bien ! Ils préfèrent quand même ça à noter sur le carnet. C'est quand même plus facile avec le smartphone. C'est vrai qu’on l'a toujours sur soi ! Il n’y a pas de stylos perdus, de carnets égarés… C'est malgré tout plus simple. Il y a quelques petites choses qui seraient à améliorer, qui j'espère vont s'améliorer pour la campagne prochaine. Ce serait plus pratique pour rentrer les données sur l'application.
N'hésitez pas si vous voulez nous en dire plus.
J'avais déjà fait la demande, au moment où on enregistre la parcelle, il faut refermer l'application et la rouvrir pour rentrer les cultures. Ce qui serait l'idéal, c'est de pouvoir tout faire en même temps quand on rentre la parcelle. Que tout soit sur la même page et qu'on puisse renseigner l'assolement au moment où on rentre la parcelle. Et quand on valide, que tout soit fait en un clic.
Parce que là il y a des oublis d’enregistrement des cultures, les chauffeurs arrivent bien à renseigner les parcelles mais comme il faut recouper l'application et la remettre en route pour avoir accès à l’assolement... Je dirais que c'est le point faible aujourd'hui, mais bon j'espère que votre équipe technique va bosser là-dessus pour que ce soit solutionné pour la campagne prochaine.
« Mais autrement c'est un bel outil, moi je le trouve très complet.
C'est un bon carnet de travaux, qui est d'ailleurs reconnu ! »
Il va avoir des évolutions là-dessus, déjà pouvoir faire de la multi sélection de parcelles et ça devrait arriver prochainement. Et la prochaine étape, ce sera effectivement d'ajouter la culture en même temps qu'on ajoute la parcelle. L'équipe technique est bien au courant et vous faites bien de nous remonter tout ça.
Ce sera parfait quand ce sera solutionné on va dire ! Mais autrement c'est un bel outil, moi je le trouve très complet. C'est un bon carnet de travaux, qui est d'ailleurs reconnu ! Ça m'est déjà arrivé d'avoir des clients qui doutent de la surface que j'ai faite, bon quand on regarde tout le tracé on se rend compte que c'est pas des surfaces qu'on a trouvées comme ça, qui tombent de je ne sais où.
« Ça m’évite d'appeler le chauffeur pour demander où il en est. En un coup d'œil rapide, je sais où il en est. »
En période de travaux, je regarde en priorité l'évolution des chantiers. Ça m’évite d'appeler le chauffeur pour demander où il en est. En un coup d'œil rapide, je sais où il en est. Ça je dirais qu'en saison c'est le rituel.
Voilà, autrement moi je m'en sers beaucoup quand je vais voir les parcelles avant le passage de la moissonneuse. Je rentre déjà les parcelles d'avance et je peux dire à mon chauffeur “Tu vas dans telle parcelle” et en plus avec la géolocalisation on clique sur "Aller à la parcelle”. Ça se fait assez bien, on fonctionne comme ça.
Et justement, sur le pilotage de vos travaux via l'application mobile, vous avez remarqué une différence depuis que vous êtes passé en Premium avec le temps réel ? Vous avez changé un petit peu votre usage ?
Oui, je préfère le temps réel parce qu’au moins je suis au courant tout de suite. Parce qu'autrement, c'était tous les quarts d'heure je crois.
Pour les travaux où il y a un faible débit de travail, ce n’est pas très grave tous les quarts d’heure. Mais quand il y a un gros débit, ça peut vite faire la différence. Je suis en courant rapidement.
Alors oui, j’ai déjà évoqué le point faible : le renseignement des cultures. Il manquerait ça pour que ce soit parfait. Malgré le fait que la perfection n'existe pas ! Autrement, c'est très facile à utiliser. Ce que je peux faire pour l'utiliser encore mieux ? Je dirais que je vais déjà assez loin avec la facturation.
Pour en citer 3 : la localisation, quand on veut créer un itinéraire pour aller à la parcelle, le transfert des données sur Excel, c'est même la priorité, et tout le tracé. Ça permet de voir et puis éventuellement d'analyser des pertes de temps dans des parcelles par exemple. Je ne fais pas trop ça mais on pourrait pousser assez loin.
« Le Karnott, il est adopté. A tel point qu'aujourd'hui, si je n’en avais plus, je serais bien perdu ! »
Et pour conclure, est-ce que vous savez me dire de 1 à 10 votre niveau d'adoption de Karnott ?
On va dire 9 car je n’aime pas mettre le maxi. 9 parce qu'on va assez loin dans la facturation. Le Karnott, il est adopté. A tel point qu'aujourd'hui, si je n’en avais plus, je serais bien perdu ! D'ailleurs, si j'en ai un en panne, je ne sais pas comment je ferais à ce moment-là.
Un grand merci pour ce retour très précieux et d'avoir pris le temps d'échanger !
À propos du podcast #CulturesKarnott : Cécile - coach client Karnott - présente le premier podcast qui parle d'agriculture et de viticulture connectée. Vous entendrez ici des personnes qui ont intégré la solution Karnott dans leur quotidien. Comment cette solution connectée, à la base destinée à remplacer les carnets de travaux est devenue un outil incontournable. Ici vous pourrez découvrir, apprendre, comparer. Bienvenue sur @CulturesKarnott ! Bonne écoute.
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